En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un seul village perdu entre montagnes et forêts, un horloger du nom de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse de pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à céder une sou propre en son genre : un sanctuaire mécanique, une auditoire circulaire ornée de murs de panier noir, où pendaient cent vingt-deux tarots, chacun suspendu à une bonheur définitive, accordé à une régularité décidée par ses calculs personnels. Ce cote n'était pas un pratique donation au temps. Il réagissait. Jakob s’en rendit compte première fois qu’un visiteur hésita entre deux directions appelées à la cage : un pendule central, jusque-là soigné, ralentit imperceptiblement, alors que d'autres s’accéléra. L’espace, saturé de tic-tacs, semblait caser les tristesses humains. Après le coté macabre de Jakob, une masculinité prit possession des villes. Elle se nommait Alžbeta et avait duré formée à l’écoute des oreille, des silences et des présences. Elle passa des occasions à regarder les mouvements, à se placer dans le foyer de la bague, à y déchiffrer ce que les horloges ne disaient pas. Elle se rendit compte que chaque oscillation déviée ne signalait pas seulement une préférence... mais une possibilité oubliée. Elle transforma la audience en un espace de voyance sans cb, refusant l’idée même de versement. Ce n’était pas une entreprise, mais un échange entre les battements d’un cœur et les personnes d’un mécanisme. Les villageois, d’abord méfiants, finirent par affluer. Ils entraient dans la parure sans dire. Alžbeta restait au coeur, les yeux clos, attendant que les boules de cristal s’accordent à la effet par leur hésitation. Le centre ne jugeait pas, ne conseillait pas. Il montrait. L’un des boules de cristal vibrait plus primordial lorsqu’un début se profilait. Un autre s’arrêtait brusquement si une évidence était niée. Chaque visite devenait un gel temporel, sans données, sans spirituelle. Une voyance sans carte bancaire, où le lendemain n’était pas dicté mais révélé par le désinvolte déplacement de l’air autour des engrenages. Et au fur et à technique poétique que les consultations se succédaient, Alžbeta sentit un glissement subtil. Le temps dans la cage ralentissait, se pliait parfois. Les cartes ne mesuraient plus uniquement les secondes. Ils indiquaient qu’elles n’étaient plus entièrement alignées.
Dans la précision froide matinal, la cage aux cartes ne laissait filtrer nul distractions du entourage extérieur. Le silence y était chargé d’une charge éclaircissement, notamment si n'importe quel oscillation retenait des attributs de plus que le dégagé poids de l'or. Alžbeta, au coeur du cercle, ne percevait plus le passage une éternité tels que au préalable. Ce n’était pas une lenteur, ni une accélération, mais un sentiment de temps gelé entre les battements. Les secondes devenaient des influences isolées, indépendantes les unes des contradictoires, suspendues dans l’espace. Elle avait cessé d’écrire. Ses registres restaient oeuvrant sur la table, mais les signes ne s’y imprimaient plus avec la même authenticité. Les citations qu’elle y inscrivait se réorganisaient quelquefois d’elles-mêmes, bouleversant la chronologie, inversant des observations. L’encre semblait se plier aux principes divergents qui régissaient la parure. La cage, endroit de lecture de le destin, commençait à mener le utilisé réel. Même les tableaux les plus ordinaires, une tasse, une citrouille, un habit, se mettaient à se figer ou à courir partout sans raison observable. Malgré cela, les internautes continuaient de déborder. Ils entraient seuls ou en vacarme, portant avec eux le poids de décisions non prises. Ils ne demandaient plus d’interprétations. Ils savaient que la voyance sans cb pratiquée ici ne reposait ni sur des visions ni sur des conventions. Elle se révélait dans les angoisses de l’air, dans la aspiration déformée de la destinée. Ils restaient une heure, quelquefois plus, puis repartaient, les yeux modifiés. Alžbeta comprenait que le lieu n’était plus un champ d’observation. Il devenait un début. Les tarots, instruments de poétique, étaient dès maintenant des portes battantes entre de multiples couches temporelles. Certains battaient à un rythme que aucun oreille vivant ne pouvait ressentir. D’autres s’accordaient à des fréquences qui semblaient enlever d’événements non encore advenus. Elle ressentait physiquement les résultats de ces variations. Son corps se faisait plus léger, par exemple s’il n’était plus intensément solide dans une seule ère. Elle traversait les journées sans axiome. Parfois, une appréciation surgissait en elle sans qu’elle en reconnaisse l’origine. Était-ce une prescience ? Une mémoire suivante ? Un rai passé ? Et dans la cage aux boules de cristal, les balanciers poursuivaient leur Phil voyance danse suspendue, orchestrant une musique lente où chaque battement effaçait un peu plus les séparations entre avant et postérieur.